, ,

Mon cours Open Water au PDC

Il y a un mois j’ai été certifiée PADI Open Water. C’était une expérience extraordinaire que jamais je n’aurais pensé vivre avant. En effet, avant de venir faire mon stage à Panama Dive Center j’ai toujours admiré les personnes qui faisaient de la plongée et qui ainsi avait l’opportunité de nager au milieu de la faune marine. Mais, comme je ne connaissais personne qui avait déjà plongé, c’était pour moi quelque chose de suréaliste, qu’on ne voyait qu’à la télé et que jamais je ne ferais. Ça ne m’était d’ailleurs jamais venu à l’idée d’essayer! Et puis un jour je suis tombée sur une annonce pour faire un stage à Panama Dive Center et je me suis dit, après tout, pourquoi pas moi? Alors j’ai postulé et à ma plus grande surprise j’ai été prise!

Bien entendu, j’ai eu quelques angoisses avant de commencer mon cours. Tout d’abord, mes grand-parents étant des descendants de familles de pêcheurs dans le Nord de la France, j’ai été élevée dans l’idée que l’océan peut être dangereux et qu’il faut toujours se méfier. En plus, étant plus jeune, j’ai toujours été angoissé par l’idée de me retrouver au milieu d’un espace aussi vaste que l’océan. Et enfin j’ai le mal de mer…

Pour le mal de mer, le problème a vite été résolu grâce à de la dramamine. Et pour le reste, j’ai décidé de ne pas y penser et une fois sous l’eau, toutes ces angoissent ont disparu! Et c’était une super expérience. Bien entendu, j’ai dû commencer par faire des exercices sous l’eau, comme retirer mon masque et le remmettre ce qui n’était pas le plus facile mais la sensation de pouvoir respirer et rester au fond de l’eau au milieu de toute la faune marine était exceptionnelle! Et je suis désormais devenue accro et c’est avec plaisir que je vais plonger toutes les semaines dans le magnifique Parc National de Coiba!
Merci à ma super instructice Sofie et tout le reste de l’équipe de Panama Dive Center pour avoir rendu tout ça possible!
En conclusion, je conseille à tout le monde d’essayer la plongée, même ceux qui comme moi qui n’y ont jamais vraiment pensé.

-Par Adèle